Les députés de la Douma d’État (chambre basse du Parlement russe) divulguent la guerre d'information contre la Russie
Aujourd'hui, une « guerre d’information » non dissimulée et agressive est déclenchée contre la Russie.
L'usine du «Ouest Сollectif» pour la production de «fake news» fonctionne sans arrêt. De plus, cela se déroule sur fond de déclarations bruyantes de nos anciens partenaires sur la liberté d'expression et des médias, sur l'inadmissibilité des violations des droits humains fondamentaux dans notre pays.
Le principal fournisseur de ces nouvelles ces derniers temps, bien sûr, est l'Ukraine.
Sur Internet on peut trouver une vidéo, dans laquelle le Conseiller du bureau du Président ukrainien, Oleksiy Arestovich, explique «comment tromper correctement». Le matériel présente un intérêt pratique du point de vue de la manière dont le régime nationaliste ukrainien et ses chefs occidentaux mènent leur propagande. Je citerai : « Nous devons faire le contraire… de la situation réelle. Notez qu'il s'agit d'une question non banale du tout : comment tromper exactement, quelle direction choisir pour tromper les gens, afin de tromper correctement et avec succès ».
Le tout selon les classiques nazis. Comme l'a dit Goebbels : «Plus le mensonge est monstrueux, plus la foule y croit facilement».
Il n’y a pas longtemps une information a été distribuée sur la participation présumée de militaires russes dans les meurtres de civils dans le village de Boutcha, dans la région de Kiev, ce qui n'est pas vrai et n’est qu’une provocation. Factologie, séquence calendaire des événements – tout est mensonge.
Toutes les unités russes se sont complètement retirées de Boutcha le 30 mars.
Le 31 mars, le maire de Boutcha, Anatoly Fedoruk, a confirmé dans un message vidéo qu'il n'y avait pas de soldats russes dans la ville, sans mentionner les habitants locaux qui auraient été abattus dans les rues.
Les preuves de "crimes" à Boutcha ne sont apparues que le quatrième jour après l'arrivée dans la ville du Service de sécurité d'Ukraine (SBU), des représentants de la police nationale et de la télévision : la présentatrice de télévision ukrainienne Maria Orlova.
Il est à noter que tous les corps des personnes dont les images ont été publiées par le régime de Kiev, après au moins quatre jours, ne se sont pas raidis, n'ont pas de taches cadavériques caractéristiques et de sang non coagulé dans les plaies.
Certaines photos et vidéos montrent qu'il n'y a pas du tout de sang près des corps au sol.
Les gros titres sur Boutcha (en accord avec le mot anglais «butcher», i.e. boucher) sont apparus dans plusieurs publications étrangères à la fois, ce qui indique une campagne médiatique prévue. À cet égard, la question se pose, où étaient ces images pendant 4 jours, pourquoi personne ne les a vus ?
La vidéo avec les corps pose encore plus de questions : à 12 secondes, le «cadavre» de droite bouge sa main. A 30 secondes on voit dans le rétroviseur autre «cadavre» s'assoit. Et les corps de la vidéo semblent avoir été délibérément disposés afin de créer une image plus dramatique. Ceci est clairement visible si vous voyez une vidéo à une vitesse de 0,25 de la normale.
De plus, le 1er avril, une vidéo a été publiée dans la chaine ukrainienne de Telegram, où l'on voit clairement que l'artillerie ukrainienne frappe des unités russes quittant Boutcha.
Tout cela est confirmé par de nombreux témoins qui racontent que ce sont les unités des Forces armées ukrainiennes qui bombardaient Boutcha ces jours-ci. Et la mise en scène a été organisée lorsque les militaires russes ont quitté la ville.
Les photos et les séquences vidéo de Boutcha sont une autre production du régime de Kiev pour les médias occidentaux, comme c'était le cas à Marioupol avec une maternité, lorsque la bloggeuse de beauté Marianna Vyshemirskaya, qui est devenue le «visage» d'une provocation avec une frappe aérienne présumée sur une maternité, a déclaré qu'il n'y avait pas de frappes. Vyshemirskaya a confirmé l'authenticité du message vidéo sur ses réseaux sociaux.
Des provocations similaires, selon le Ministère russe de la Défense, ont également été constatées dans d'autres villes.
Nous comprenons que de telles histoires continueront, comme elles le font depuis de nombreuses années en Syrie.
Les pays occidentaux ne veulent pas entendre parler de la situation réelle en Ukraine, poursuivant la politique de l'information "rideau de fer". Dans la mesure où nos anciens partenaires « ne recherchent pas la vérité, mais l'effet » (Goebbels).
Le problème est que les Européens "ordinaires" ne sont pas informés de ce qui se passe vraiment en Ukraine. Ils se régalent de fausses informations professionnelles, dans lesquelles, sous des photographies de villes du Donbass détruites à la suite de bombardements par l'artillerie ukrainienne, ils publient des rapports sur « les attaques des forces armées russes».
Et les atrocités des combattants des Forces armées ukrainiennes contre nos prisonniers de guerre et leur propre population sont étouffées.